Accès à tous les services avec le contrat Infonet Pro : Premier mois à 3 € HT puis forfait à 99 € HT / mois avec 24 mois d'engagement
Services B2B d’analyse et d’information légale, juridique et financière réservés aux entreprises
Infonet est un service privé, commercial et non-officiel. Infonet est distinct et indépendant du Registre National du Commerce et des Sociétés, de l’INSEE, d’Infogreffe et des administrations publiques data.gouv.fr.
L’accès à l’information sur les entreprises n’a jamais été aussi important qu’aujourd’hui. À l’ère du numérique, les organisations doivent prendre des décisions plus rapides, plus éclairées et plus sûres. L’idée n’est plus seulement de compiler des documents légaux ou de vérifier ponctuellement un chiffre d’affaires : il s’agit de transformer la connaissance des entreprises (prospects, clients, fournisseurs, concurrents…) en avantage concurrentiel.
Avec l’accélération des transactions en ligne, l’ouverture internationale et la multiplication des partenariats, le risque de se retrouver face à un acteur peu fiable, voire en situation de défaillance, est réel. Par ailleurs, la veille stratégique n’est plus l’apanage des grands groupes disposant de départements dédiés : même les TPE/PME ont besoin de cartographier leur marché et de connaître l’environnement dans lequel elles évoluent.
Besoin de transparence : Les entreprises veulent s’assurer de la solidité de leurs partenaires avant de signer un contrat ou de confier une mission sensible.
Validation de solvabilité : Les commerciaux B2B n’ont plus le luxe de démarcher à l’aveugle, car le coût d’une erreur (relances impayées, temps commercial perdu) est élevé.
Gain de temps : Avant, il fallait consulter plusieurs sites officiels (INSEE, Infogreffe, BODACC…) pour reconstituer un puzzle approximatif. Aujourd’hui, des plateformes modernes comme Infonet concentrent ces informations, les harmonisent et les présentent de manière plus lisible.
Anticipation des risques : Avec une croissance volatile, savoir si une entreprise est en situation financière critique ou a changé récemment de direction peut faire la différence entre un partenariat serein et un litige coûteux.
C’est dans ce contexte ultra-concurrentiel que s’inscrit Infonet : l’outil vise à réinventer l’accès à la data, non pas comme un simple agrégateur de PDF, mais comme un véritable tableau de bord pour comprendre en un coup d’œil la santé et le potentiel d’une société.
Infonet est apparu sur le marché français avec l’objectif de rendre accessible et intelligible la montagne de données légales et financières disponibles. Avant son lancement, les professionnels devaient jongler entre les pages arides d’Infogreffe, des bases incomplètes sur les réseaux consulaires, et quelques services B2B mal structurés.
Les créateurs d’Infonet ont alors capitalisé sur l’idée suivante :
Centraliser toutes les infos d’entreprise (statuts, bilans, dirigeants, procédures judiciaires, etc.) issues de sources officielles ou semi-publiques.
Organiser ces données de manière transversale pour éviter les redites et mettre en évidence les indicateurs clés (solvabilité, liquidité, rentabilité).
Rendre ces informations actionnables : l’interface doit présenter des jauges, des radars, des scores, et non un long PDF illisible.
Proposer un abonnement “tout-en-un” plutôt qu’un système de crédits ou de paiements à l’acte, qui finit souvent par coûter très cher si l’on a un volume élevé de consultations.
Tout un chacun sait à quel point les plateformes liées à la donnée d’entreprise peuvent être rébarbatives : design daté, navigation lente, difficulté à trouver la bonne information… Infonet a fait le pari d’une expérience utilisateur (UX) plus fluide, inspirée des standards des SaaS modernes.
Menus clairs : la page d’accueil propose une barre de recherche intuitive, un accès direct à vos “listes” et à votre espace de documents.
Visualisations graphiques : dès que l’on consulte une entreprise, Infonet affiche des radars de performance, des graphiques d’évolution du CA ou du résultat, et un module de comparaison sectorielle.
Personnalisation : l’utilisateur peut paramétrer des alertes, enregistrer des favoris et gérer plusieurs comptes au sein d’une même entreprise (utile pour les équipes).
Contrairement à certains concurrents (Kompass, Altares, Bureau van Dijk…) qui misent sur des bases internationales, Infonet a choisi de se focaliser quasi exclusivement sur les entreprises immatriculées en France. Cette approche “locale” lui permet d’être très exhaustif et de proposer des données à jour pour plusieurs millions d’entreprises (incluant micro-entreprises et associations selon leur statut de publication).
Le corollaire est que l’on ne trouve pas (encore) de fiches sur les sociétés étrangères : si vous cherchez des informations sur une société belge ou italienne, il faudra vous tourner vers une autre solution ou un partenaire d’Infonet.
Dans cette section, nous allons décortiquer les fonctionnalités, capture d’écrans à l’appui (dans la mesure du possible) et retours d’expérience d’utilisateurs.
Le cœur d’Infonet réside dans son moteur de recherche. Vous pouvez saisir :
Le nom d’une entreprise (exemple : “EDF”, “Lafarge”, “Boulangerie Martin”).
Un SIREN ou un SIRET (pour ceux qui ont déjà cette référence).
Le nom d’un dirigeant (utile pour retrouver toutes les sociétés où la personne en question est associée ou gérante).
Lorsque vous validez, Infonet vous renvoie la liste des correspondances. Il suffit alors de cliquer sur l’entreprise pour accéder à sa fiche détaillée.
Pour les utilisateurs Pro, il est possible d’affiner la recherche grâce à des filtres poussés :
Localisation : département, région, voire commune.
Secteur d’activité : via les codes NAF/APE.
Taille de l’entreprise : nombre de salariés, chiffre d’affaires estimé.
Ancienneté : date de création.
Statut juridique : SA, SAS, SARL, autoentrepreneur, etc.
Solvabilité : pour ne remonter que les entreprises jugées robustes par l’algorithme d’Infonet.
Cet aspect “multi-critères” est très prisé des équipes commerciales qui veulent créer des listes ciblées à exporter pour leur prospection.
Un point crucial : vous pouvez exporter au format CSV ou Excel la liste d’entreprises obtenue, avec toutes les colonnes d’information que vous jugez pertinentes (nom, dirigeant, CA, etc.). Vous intégrez ensuite ces data dans votre CRM ou dans un tableur pour un travail offline.
Lorsqu’on ouvre la fiche d’une entreprise, Infonet présente plusieurs onglets (ou sections) :
Informations générales :
Raison sociale, forme juridique, date d’immatriculation.
Dirigeants actuels et passés.
Adresses des établissements (si multiples).
Effectif déclaré.
Données financières :
Chiffre d’affaires et évolution sur les dernières années.
Résultat net, marge, EBE (excédent brut d’exploitation).
Fonds propres, capitaux sociaux, endettement.
Ratio de liquidité, ratio de solvabilité.
Analyses visuelles :
Radar de performance : 5 à 6 axes (rentabilité, croissance, taux d’endettement, etc.).
Score de solvabilité (souvent une note sur 10 ou un grade).
Positionnement sectoriel : benchmark rapide par rapport à la moyenne du secteur.
Documents officiels :
Téléchargement du Kbis (abonnés Pro, limité à 30 par mois).
Bilans et comptes annuels (souvent illimités).
Statuts déposés, actes, rapports d’assemblée générale.
Marques et brevets (en s’appuyant sur l’INPI).
Données de veille et alertes :
Dépôts de marques récents, inscriptions au RCS.
Procédures collectives éventuelles (sauvegarde, redressement, liquidation).
Historique des dirigeants, changements majeurs.
L’avantage d’Infonet, c’est l’harmonisation de ces informations. Plutôt que de naviguer sur plusieurs sites, tout est accessible sur une interface uniforme, plus facile à interpréter.
Le “radar” se présente souvent sous la forme d’un hexagone ou d’un pentagone où chaque branche correspond à un indicateur-clé (ex. rentabilité). Plus l’entreprise est performante sur un critère, plus la pointe du radar s’étend. C’est un moyen rapide de visualiser le “profil” de la société.
L’un des points différenciants d’Infonet Pro, c’est l’accès illimité ou quasi-illimité aux documents officiels. Alors qu’un site comme Infogreffe facture chaque document, Infonet intègre la plupart de ces pièces dans le forfait, hormis les Kbis ou analyses financières approfondies qui sont limités à 30 téléchargements mensuels (un seuil généralement suffisant pour la majorité des PME).
Cette facilité vaut de l’or pour les juristes, les comptables ou les services financiers qui consultent ces documents en permanence. Plus besoin d’introduire un numéro de carte bancaire à chaque téléchargement ni de passer par un système de jetons.
Note : la mise à jour des Kbis est généralement assez rapide (quelques heures à quelques jours selon les greffes). L’équipe d’Infonet s’appuie sur un réseau de sources officielles pour rafraîchir en continu la base.
Si vous avez besoin de surveiller une poignée (ou plusieurs centaines !) d’entreprises, vous pouvez les “suivre” sur Infonet. À la moindre modification statutaire (changement de gérant, modification du capital, nouveau dépôt de marque, procédure collective, etc.), vous recevez une alerte par email.
Ce dispositif est extrêmement utile pour :
Des directions financières qui veulent repérer rapidement si un client bascule en redressement.
Des services achats soucieux de la stabilité de leurs fournisseurs stratégiques.
Des directions générales qui font de la veille concurrentielle et veulent être informées d’un changement majeur chez un rival.
Les alertes sont personnalisables : vous pouvez choisir de recevoir une notification pour chaque modification ou d’être alerté uniquement pour certains types d’événements (ex. procédures légales, changement de dirigeant, nouveaux bilans, etc.).
Infonet propose un fonctionnement en équipe. Sur une même licence Pro, il est possible de disposer de plusieurs utilisateurs (le nombre varie selon la formule d’abonnement et l’accord commercial). Chaque collaborateur a son espace personnel, ses recherches enregistrées et ses listes d’alertes.
Cela évite le problème classique du “mot de passe partagé” où, dans bien des entreprises, on finit par bloquer un compte parce que cinq personnes se connectent simultanément. Ici, chaque profil peut même organiser son tableau de bord (listes, favoris, alertes), ce qui améliore la productivité.
Même si la plateforme s’adresse à toute personne ayant besoin d’informations sur des entreprises françaises, il existe plusieurs profils types qui en tirent un bénéfice marqué.
Commerciaux et responsables du développement
Identifier de nouveaux segments de clients grâce aux filtres (géographie, taille, solvabilité, secteur).
Vérifier la santé financière d’un prospect avant d’investir du temps dans la relation.
Télécharger des bilans pour mieux calibrer la proposition commerciale.
Équipes de gestion du risque et credit management
Estimer l’encours de crédit possible en se basant sur le score de solvabilité ou la cotation Banque de France (disponible dans Infonet).
Mettre sous surveillance les principaux clients et être alerté en cas de procédure collective.
Justifier les décisions en interne (montant de facture accordé, allongement de délais) avec des rapports concrets.
Acheteurs et responsables sourcing
Qualifier de nouveaux fournisseurs, notamment sur leur fiabilité financière (prévenir les ruptures de la chaîne d’approvisionnement).
Surveiller l’évolution d’un panel fournisseurs sur la durée et réagir en cas de doute sur la santé d’un partenaire stratégique.
Analystes de marché et veille concurrentielle
Étudier les tendances d’un secteur via les données agrégées (chiffres d’affaires, nombre d’entreprises actives, etc.).
Comparer les performances de plusieurs acteurs (radar de performance, visualisations, historiques).
Suivre les dépôts de marques ou brevets qui pourraient affecter la position concurrentielle.
DRH, cabinets de recrutement, chasseurs de têtes
Vérifier la stabilité d’une structure avant d’y envoyer un candidat hautement qualifié.
Repérer la création de nouvelles entités dirigées par d’anciens cadres d’un grand groupe (ce qui peut signaler des opportunités de recrutement ou de partenariat).
Entrepreneurs et dirigeants de TPE/PME
Comprendre l’environnement concurrentiel local, repérer des opportunités d’alliance ou de rachat.
Surveiller en continu l’évolution de son propre secteur, anticiper les changements (concurrents qui se développent, ouvertures d’établissements, etc.).
Pour mieux situer Infonet, découvrons un tableau comparatif avec certains concurrents majeurs ou partiels. Voici un aperçu des points clés (base de données, fonctionnalités, mode de tarification, etc.).
Critères | Infonet | Kompass | SocieteInfo | Pappers | Manageo | Infogreffe |
---|---|---|---|---|---|---|
Couverture géographique | Exclusivement France | International, dont la France | Principale sur la France (mais accès partiel à l’étranger) | France uniquement | France majoritairement, certaines données européennes | France (centré sur les données légales) |
Type de données | Données légales, financières, statuts, bilans, solvabilité | Base orientée prospection internationale, contacts B2B | Fiches entreprises + enrichissement réseaux sociaux | Moteur de recherche gratuit pour infos légales (bilans, dirigeants, etc.) | Focus sur la data financière, scoring, marketing | Kbis, procédures, actes officiels (paiement à l’acte) |
Interface utilisateur | Moderne, radars, graphiques, scoring dédié | Interface plus B2B “classique”, un peu datée | Épurée, assez intuitive | Design minimaliste, accès rapide | Interface fonctionnelle, sans fioritures | Interface institutionnelle, sans visuels avancés |
Alertes et veille | Alertes sur changements clés, multi-comptes | Alertes basiques, plus centrées sur l’international | Alertes disponibles, parfois couplées à l’analyse web (médias, réseaux) | Pas d’alertes automatiques poussées (sauf solutions tierces) | Alertes standard (changement de dirigeant, dépôt de bilan, etc.) | Non (ou très limité, nécessitant des requêtes payantes) |
Accès documents officiels (Kbis, bilans, etc.) | Téléchargements illimités, sauf quotas sur certains docs | Données partiellement incluses, dépend de formules payantes | Accès payant (versions basique ou avancée), volume de documents variable | Gratuit pour les comptes annuels, statuts, etc. (pas de scoring détaillé) | Accès payant par pack ou abonnement, dépend du volume | Paiement à l’acte, environ 3 à 5€ pour un document (Kbis, bilan) |
Tarifs | De 99€ à 188€/mois (selon engagement, multi-comptes inclus) | Formules variables, souvent personnalisées selon les besoins | À partir de 49€/mois, monte à 200€/mois pour enrichissement + API | Version gratuite + formules Pros ~ 49€/mois (enrichissement) | Offres à partir de ~60€/mois jusqu’à >150€/mois | Paiement unitaire ou abonnement pour certaines fonctionnalités |
Public cible | TPE, PME, ETI, grands comptes, multi-sectoriel | Grandes entreprises exportatrices, prospection mondiale | Marketers B2B, enrichissement CRM, startups B2B | Utilisateurs occasionnels, TPE, accès gratuit à la donnée légale | Dirigeants, services financiers, commerciaux, marketing | Consultants, notaires, avocats, services juridiques, accès instantané légal |
Points forts | Interface ergonomique, scoring, accès documentaire global | Couverture internationale, annuaire B2B historique | API d’enrichissement, focus sur la data marketing | Gratuité de la base légale, simplicité d’usage | Analyses financières approfondies, scoring détaillé | Fiabilité institutionnelle, données officielles mises à jour au greffe |
Points faibles | Couverture seulement France, pas d’API publique | Design daté, coûts élevés pour la data approfondie | Données parfois moins “profondes” (score financier moins poussé) | Pas de scoring financier avancé, pas d’alertes intégrées | Interface moins moderne, tarification parfois complexe | Paiements récurrents, interface peu conviviale |
Analyse synthétique :
Infonet se distingue par son ergonomie et la richesse de ses analyses financières (score de solvabilité, radars).
Kompass reste un géant de l’international, mais peut paraître moins “friendly” pour un usage quotidien local.
SocieteInfo séduit les équipes marketing et growth hacking grâce à son API et son enrichissement web.
Pappers est apprécié pour sa gratuité sur la majorité des documents légaux, mais il n’offre pas la puissance de scoring d’Infonet.
Manageo met l’accent sur le scoring financier, proche d’Infonet, mais avec une interface moins moderne.
Infogreffe demeure la source officielle, mais reste peu ergonomique et onéreux à l’usage récurrent.
Centralisation des données
Au lieu d’aller piocher à droite et à gauche (Infogreffe, INPI, BODACC…), Infonet permet un gain de temps phénoménal en consolidant tout sur une seule plateforme.
Qualité d’interface et visualisations
Les graphiques et radars sont d’une grande aide pour comprendre l’information financière, même si vous n’êtes pas expert. Le design est soigné, ce qui réduit la courbe d’apprentissage.
Formules d’abonnement claires
Contrairement à d’autres services qui vendent des packs de crédits, Infonet propose un abonnement forfaitaire (avec toutefois des limites sur certains documents).
Alertes sur mesure
L’utilisateur peut surveiller en continu les entreprises qui l’intéressent, et être averti par e-mail de tout changement majeur. C’est un vrai plus pour la gestion du risque.
Accompagnement et SAV
De nombreux retours clients soulignent la réactivité du support Infonet, qui répond rapidement aux questions et propose un onboarding efficace.
Couverture géographique limitée
Si votre activité dépasse les frontières françaises, vous devrez coupler Infonet à d’autres solutions.
Limite d’export pour certains documents premium
Seuls 30 Kbis (et analyses financières associées) sont téléchargeables par mois. Ça peut coincer si vous êtes un gros cabinet de conseil ou un service commercial qui traite des centaines de cas.
Pas d’API en accès libre
Pour des intégrations automatiques (CRM, ERP), il faut passer par des accords spécifiques avec Infonet, ce qui peut être contraignant ou coûteux pour certaines structures.
Engagement
Les meilleurs tarifs (99 €/mois) s’obtiennent avec un engagement de 24 mois, ce qui reste un investissement non négligeable pour une petite structure.
Infonet Pro se décline principalement en trois formules d’engagement :
Contrat de 3 mois (trimestriel) : 188 € HT / mois
Un seul utilisateur.
Pas de multi-comptes (ou limité).
L’ensemble des fonctionnalités de base.
Contrat de 12 mois (annuel) : 143 € HT / mois
Multi-comptes inclus (nombre dépendant d’un accord commercial).
Remise d’environ 23 % par rapport à la formule trimestrielle.
Chargé de compte dédié.
Contrat de 24 mois (biannuel) : 99 € HT / mois
Remise d’environ 47 % par rapport au tarif trimestriel.
Multi-comptes et options de personnalisation supplémentaires.
Chargé de compte dédié, frais de service offerts.
Dans tous les cas, vous bénéficiez de la majeure partie des documents en téléchargement illimité. Les exceptions (Kbis, score Banque de France, etc.) sont limitées à 30 par mois.
Pour permettre aux nouveaux clients de tester sans risque, Infonet propose souvent le premier mois (ou première période) à 3 € HT, avec accès intégral. Cela permet de découvrir la plateforme et d’évaluer l’intérêt de l’outil avant de s’engager plus longuement.
Ce qui différencie Infonet d’autres services, c’est la philosophie du “tout compris”. Vous n’avez pas à comptabiliser chaque document téléchargé (hors Kbis premium) ni à payer un “crédit” à chaque fois.
Avantage : simplicité et prévisibilité budgétaire.
Inconvénient : si vous utilisez Infonet seulement une poignée de fois par mois, vous payez tout de même un abonnement assez élevé.
La majorité des utilisateurs saluent la facilité d’emploi et la richesse des informations. Plusieurs avis sur des plateformes comme Trustpilot ou des groupes LinkedIn spécialisés en prospection B2B mettent en avant :
La fluidité du processus : “Je tape le nom, j’obtiens immédiatement des bilans clairs, compréhensibles, et un score de solvabilité.”
L’intégration dans la routine commerciale : “On peut exporter des listes de prospects hautement qualifiés vers notre CRM, un vrai gain de temps.”
Les alertes : “Depuis que j’ai paramétré l’alerte sur mes 30 principaux clients, j’ai repéré deux situations de redressement avant qu’il ne soit trop tard.”
Les utilisateurs regrettent essentiellement :
L’engagement minimum (surtout 24 mois) pour bénéficier des meilleurs prix.
La limite de 30 documents premium (Kbis, analyses approfondies). Pour certains cabinets ou grands comptes, c’est jugé trop faible.
Pas d’API en libre-service, ce qui complique les projets d’automatisation à grande échelle.
Pour mieux saisir la valeur ajoutée d’Infonet, voici quatre études de cas illustrant des situations réelles (ou fortement inspirées de retours utilisateurs).
Problème : Avant d’accepter une mission de recouvrement, ce cabinet souhaite évaluer rapidement la probabilité de réussite et la solidité de la société débitrice.
Solution : Avec Infonet, ils vérifient en quelques clics le dernier bilan, le score de solvabilité, la présence ou non de procédures en cours.
Bénéfices :
Décision éclairée : si la société est proche du dépôt de bilan, le cabinet peut mieux facturer ses honoraires ou refuser la mission.
Alerte automatique : en cas de changement de dirigeant ou de liquidation, le cabinet est prévenu et peut agir en amont.
Problème : Cette PME cherche à diversifier son portefeuille fournisseurs pour sécuriser l’approvisionnement de certaines pièces mécaniques critiques.
Solution : En filtrant par secteur (code NAF) et région, elle trouve plusieurs fabricants potentiels. Puis elle contrôle la santé financière de chacun pour éviter les ruptures.
Bénéfices :
Meilleure négociation : la PME sait si un fournisseur est en difficulté ou au contraire bien installé, ce qui influe sur les conditions de paiement.
Économie de temps : sans Infonet, l’acheteur aurait passé des heures à consulter divers sites pour trouver et vérifier ces fournisseurs.
Problème : Avant de conclure un partenariat avec une entreprise pour dispenser des formations en interne, le groupe veut s’assurer du sérieux de ce client.
Solution : Consultations sur Infonet pour examiner le bilan, la taille de la masse salariale, le taux de croissance. Téléchargement du Kbis pour officialiser la relation.
Bénéfices :
Fiabilité accrue : le groupe évite de déployer des formateurs chez un client qui ne pourrait pas régler les prestations.
Transparence : le client est rassuré par la maîtrise des données, l’image de professionnalisme du groupe de formation s’en trouve renforcée.
Problème : Pour lancer des campagnes B2B, l’agence doit cibler des entreprises d’un secteur donné (assurance, par exemple) et d’une certaine taille, sur un périmètre géographique restreint.
Solution : Utilisation des filtres avancés Infonet (secteur, région, effectif) pour extraire une liste de 200 entreprises. Export en CSV pour import dans leur CRM HubSpot.
Bénéfices :
Pertinence : la liste est déjà qualifiée, donc le taux de conversion est amélioré.
Rapidité : plutôt que d’acheter des bases de données obsolètes, l’agence dispose de données à jour avec un minimum d’effort.
Infonet s’alimente principalement auprès de l’INSEE, du BODACC (Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales) et des greffes des tribunaux de commerce pour les actes de constitution, bilans, dépôts statutaires… Ces sources sont publiques ou semi-publiques, mais souvent incomplètes ou disséminées sur des portails peu ergonomiques.
Au-delà de la collecte brute, Infonet procède à des traitements algorithmiques pour évaluer la solvabilité, calculer un score de risque, ou restituer l’information sous forme de graphiques. Ces modèles exploitent :
Les ratios financiers usuels (rentabilité, liquidité, endettement).
Les historiques de publication : retards de dépôt de comptes, changements de gérance suspects, etc.
Les signaux de procédures (injonctions de payer, liquidations, redressements).
La fréquence de mise à jour varie selon les types de data :
Les modifications légales (nouveau dirigeant, augmentation de capital) sont généralement intégrées sous 24 à 72 heures.
Les bilans sont ajoutés dès leur publication (loi oblige, certaines entreprises tardent ou déposent leurs comptes de manière partielle).
Les scores de solvabilité sont recalculés régulièrement, prenant en compte tout nouvel élément.
Cette actualisation quasi-continue fait qu’Infonet est reconnu pour la fraîcheur de ses données, un critère crucial pour évaluer la santé d’une entité.
En tant que consultant indépendant et utilisateur régulier de plateformes d’information d’entreprises, je retiens plusieurs enseignements :
Une interface grand public qui cache une puissance B2B. Contrairement à certains portails austères, Infonet soigne l’apparence et l’ergonomie. On ne se sent pas submergé par des tableaux incompréhensibles.
Une logique d’abonnement qui peut être “tout ou rien”. Si vous êtes dans un usage intensif, Infonet a beaucoup de sens. Si vous ne consultez que 5 bilans par an, la rentabilité de l’abonnement est discutable.
Une orientation “France only” qui a le mérite de la clarté, mais pénalise les entreprises transfrontalières. Espérons qu’Infonet s’ouvre à l’international à l’avenir, ou propose des partenariats structurés pour accéder à des bases européennes.
Un scoring pertinent, mais pas infaillible. Tout score de solvabilité ou de risque est par essence un modèle statistique. Il convient donc de garder un regard critique et de recouper avec d’autres informations (visite sur site, échange direct, etc.) avant de prendre une décision lourde (gros contrat, octroi de délais de paiement élevés).
Une équipe accessible. Les retours utilisateurs montrent que les conseillers Infonet sont joignables rapidement et prennent en compte les propositions d’amélioration. C’est rarement le cas sur d’autres plateformes plus institutionnelles.
À mesure que la globalisation progresse, on pourrait imaginer qu’Infonet propose un accès similaire sur les entreprises de pays limitrophes (Belgique, Luxembourg, Espagne, Italie…). Cela impliquerait un partenariat avec des bases de données transnationales ou la constitution d’une filiale par pays.
Avec la montée en puissance du machine learning, Infonet pourrait affiner ses modèles de scoring en intégrant davantage de variables, y compris des sources “non structurées” (comme la presse spécialisée, les réseaux professionnels, les signaux d’embauche ou de licenciement massifs).
Une API publique permettrait à de nombreuses PME et éditeurs de CRM d’intégrer directement les données Infonet dans leurs processus (automatisation de la création de fiches leads, mise à jour en temps réel du scoring client, etc.). Actuellement, la mise en place se fait au cas par cas. Une ouverture plus large serait un gros atout concurrentiel.
On peut imaginer un futur module permettant de comparer plusieurs entreprises en un clic, avec un tableau multicritères (CA, rentabilité, effectifs, notes de solvabilité…), voire de générer des rapports automatiques. Infonet dispose déjà d’éléments en ce sens, mais il y a un potentiel d’extension pour en faire un véritable outil d’analyse comparative.
Au terme de ce long exposé (plus de 3200 mots) sur Infonet, il apparaît clairement que la plateforme répond à un besoin grandissant de centralisation et de structuration de l’information sur les entreprises françaises. Dans un environnement où la vitesse de décision est cruciale, disposer d’un guichet unique pour accéder à des documents officiels, à des scores de solvabilité et à des analyses financières simplifiées constitue un véritable atout.
Accessibilité : Infonet facilite l’accès à des données parfois complexes (bilans, statuts, procédures) via une interface moderne.
Vision globale : Graphiques, radars, benchmarks sectoriels… On perçoit en quelques secondes l’état de santé d’une entité.
Approche abonnement : Pour un usage fréquent, ce modèle est souvent plus économique que le paiement à l’acte.
Alertes automatisées : Un gain de réactivité pour suivre prospects, clients, fournisseurs ou concurrents.
Coût : Pour un usage ponctuel, l’investissement ne se justifie pas forcément.
Frontières françaises : Pas de données étrangères intégrées.
Quotas sur certains documents premium : 30 par mois peuvent être insuffisants pour de grandes structures.
API privée : Pas de synchronisation ouverte avec les CRM ou ERP (hors accords spécifiques).
En définitive, Infonet s’impose en 2025 comme un acteur de référence pour quiconque doit traiter de la data d’entreprise en France. Qu’il s’agisse de prospecter, d’évaluer un partenariat, d’anticiper un risque ou simplement de se tenir informé d’un marché, la plateforme apporte une solution clé en main, unifiant un large éventail de sources officielles et privées. Les professionnels y trouvent une véritable “tour de contrôle” permettant de visualiser, d’alerter et de décider plus vite.
L’avenir d’Infonet dépendra sans doute de sa capacité à s’étendre (géographiquement et fonctionnellement) tout en maintenant sa lisibilité et sa qualité de service. À ce stade, son positionnement est clair : être la “bible” des données légales et financières françaises, avec un accent particulier sur l’expérience utilisateur et la pertinence des analyses. Pour quiconque opère majoritairement en France et réalise un volume régulier de vérifications ou de veilles, Infonet Pro mérite largement l’attention.